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Le jardin de Babel

Marie-Louise Gay | 1999
Âge :
4 ans
Année :
1999

Résumé

Il y a des jours comme ça, où le monde nous semble à l’envers. Pour Babel, aujourd’hui, tout est sens dessus dessous.  Dans son jardin, les moutons broutent les nuages et les lapins poussent comme des carottes. Parmi les rutabagas, Signor Rapini pêche… et attrape un nain à barbe bleue.  D’abord médusé et incrédule, Babel adoptera ses nouveaux amis et se verra entraîner dans une aventure rocambolesque.  Une odyssée qui le mènera dans les couloirs secrets du château de Chatouille-les-Chiens où princesse ensorcelée, châtelain éploré et souris mécanique lui en feront voir de toutes les couleurs!  Un conte moderne dans lequel les princesses ne sont pas toutes charmantes et où les héros le deviennent bien malgré eux.

Cette 20e création du Théâtre de l’Œil, mise en scène par André Laliberté, a permis à l’auteure et illustratrice Marie-Louise Gay de revenir à l’écriture pour le théâtre jeune public. Animée par un esprit ludique, elle enchaîne les jeux de mots savoureux et les situations bizarres. Elle signe également la conception du décor et des marionnettes, créant ainsi un univers débridé qui sied parfaitement à ce médium.

Marie-Louise Gay vit à Montréal. Elle a écrit ou illustré au-delà de 60 livres publiés dans plus de 15 langues. Elle a remporté tous les grands prix de littérature canadienne pour la jeunesse dont le prix du Gouverneur général, le prix du livre M. Christie et le prix Vicky Metcalf pour l’ensemble de son travail. En 2013, Postes Canada a émis des timbres mettant en vedette ses personnages les plus aimés, les frères et sœurs Sacha et Stella. Après Bonne Fête Willy et Qui a peur de Loulou ?Le jardin de Babel est le troisième spectacle qu’elle imagine pour le Théâtre de l’Œil.

La pièce Le jardin de Babel a été créé à la Maison Théâtre en octobre 1999 et y revenait à l’automne 2014. Le texte a été publié chez Lanctôt Éditeur.

Photos

Personnages

Babel
Jeune jardinier naïf et curieux
Châtelain
Un nain à barbe bleue
Marcelle
Un mouton-nuage qui broute dans le ciel
Signor Rapini
Vieux pêcheur italien
Princesse Charlotte
La fille ensorcelée du châtelain
Poisson Gaston
Maître de natation, spécialiste de la brasse-papillon

Crédits

Texte, conception des marionnettes et du décor
Marie-Louise Gay
Mise en scène
André Laliberté
Musique
Libert Subirana
Éclairages
Gilles Perron (2014)
Conseiller à la scénographie
Richard Lacroix
Répétiteur
Stéphane Heine
Distribution
Anne Brulotte-Légaré, Éloi Cousineau, Estelle Richard, Pierre-Louis Renaud
Régie
Gilles Perron

Extraits de presse

« Cet univers sens dessus dessous fait sourire plus d’une fois et l’émerveillement est à son comble quand les personnages plongent pour rejoindre le royaume du roi et qu’un habile jeu d’ombres met en scène leur promenade sous-marine. Ingénieux, aussi, le choix de pénétrer dans le royaume par l’entremise d’une baignoire. »
Frédérique Doyon, Le Devoir, Montréal, 2 octobre 2014
« Comme presque tout spectacle pour enfants, Le jardin de Babel semble avoir trouvé le secret de l'éternelle jeunesse. Quinze ans après sa création, la 20e production du Théâtre de l'Œil n'a pas pris une ride et ravit toujours autant. »
Daphné Bathalon, Mon(Theatre).qc.ca, Montréal, 29 septembre 2014
« Laliberté installe un monde de rondeurs rassurantes et de lenteur poétique (...). La musique de Libert Subirana pistonne la fantaisie. »
Jean St-Hilaire, Le Soleil, 23 juillet 2000
« En moins d’une heure, on verra notre petit jardinier et ses nouveaux amis vivre des aventures fantastiques dans un univers sens dessus dessous, parsemé de jeux de mots (...) Babel et ses compagnons sont sympathiques dès le premier coup d’œil. »

Stéphanie Bérubé, La Presse, 9 octobre 1999
« Dans le jardin de Babel, ce jour-là, les références habituelles ne tiennent plus. (...) Et comme d’habitude dans les productions du Théâtre de l’Œil, tout devient possible. Ce qui séduit d’emblée le public des quatre à neuf ans, qui trouve là une sorte de conte de la folie ordinaire auquel il fait bon se raccrocher en riant aux éclats. »
Michel Bélair, Le Devoir, Montréal, 6 octobre 1999